Ce qu’ils ont dit de la peinture d’Isabelle DUBOSC.

« Tracés qui appellent la complicité, qui la suscitent tandis que du chaos surgit un univers de signes ».
 Clara Malraux, écrivain

L'art d'Isabelle Dubosc est justement de mêler tous les règnes : minéral, végétal et animal. Ils procèdent les uns des autres de toute éternité. Ici le processus est téléscopé ; ce qui a mis des milliards ou des millions d'années pour se faire dans la nature, est réalisé simultanément dans un de ses tableaux.  Patrice Josset, critique à la revue Arts Actualités Magazine

«  Il faut une certaine naïveté pour aborder aux toiles d'Isabelle Dubosc. Le meilleur moyen est de ne pas vouloir à tout prix répondre à cette question : que représentent-t-elles ? Mieux vaut se laisser aller à un certain charme presque étouffé, presque délavé, dirait-on, comme si le peintre, devant l'embarras du choix, n'avait pas accepté ce choix même ». 
Alain Bosquet, poète

« Chez Isabelle Dubosc, le hasard est d'évidence le fruit d'une nécessité intérieure : il y a en elle un univers qui demande à exister, qui existe déjà. Comme, en plus, elle possède un métier certain, cela s'appelle le talent ». 
Albert Memmi, écrivain

« Ce qu'ont tenté les anciens peintres en essayant de faire coïncider avec leur voeu profond l'espace du dehors (celui que Char nomme si bien l'espace circulaire), se multiplie ici des difficultés d'aujourd'hui ».
Jean Marcenac, poète

« Isabelle Dubosc, après avoir exploré les métamorphoses animales et végétales, continue son parcours dionysiaque avec de plus en plus de puissance, comme pour faire resurgir le paganisme qui hibernait dans nos profondeurs ».
 Denys Treffert, critique au magazine Artension

« Becs de plumes encrés en noir en créant noirs becs et plumes... Il y a les branches tordues des arbres, l'hiver, et ces bizarres oiseaux qui font peur aux enfants, il y a aussi, entre les branches, là-bas, mais pas si loin qu'on croit, transparente dans tant de soir, la lumière ».
Jean-Yves Pouilloux, universitaire

« Eclatement du temps dont les fragments sont ensuite rassemblés. Ce qu'Isabelle Dubosc fixe sur la toile ou sur le papier, c'est un moment de transition ». Marcel Bénabou, écrivain